"Riguardo alla ripresa dei contatti con Roma. Porrò la questione sul piano dottrinale:"Siete d'accordo con le grandi encicliche dei Papi che vi hanno preceduto? Siete d'accordo con "Quanta Cura" di Pio IX, "Immortale Dei" e "Libertas" di Leone XIII, "Pascendi" di San Pio X, "Quas primas" di Pio XI, "Humani Generis" di Pio XII. Accettate ancora il giuramento antimodernista? Siete ancora per il Regno Sociale di NSGC? Se non accettate la dottrina dei vostri predecessori è inutile di parlare. Finche non avrete accettato di riformare il Concilio considerando la dottrina di questi Papi che vi hanno preceduto nessun dialogo è possibile. E’ inutile. Cosi le posizioni sono più chiare. (Conferenza tenuta al ritiro sacerdotale a Econe il 4 settembre 1987 "Sous la Banniere" n.133 ottobre 2007 p.4)
lunedì 21 gennaio 2013
Monsignor Di Noia scrive a tutti i Sacerdoti della San Pio X: non ci resta che piangere...
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Ecco la lettera, in francese, ritenuta completa e fedele all'originale (comprese le intestazioni ).
S.E. Monseigneur Bernard FELLAY Supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X
Avent 2012
Excellence, chers frères prêtres de la Fraternité sacerdotale saint Pie X,
C’est
avec joie que j’ai appris la satisfaction que vous a donnée notre
dernière déclaration en date du 28 octobre. Il était important
d’affirmer de manière publique et autorisée que les relations du
Saint-Siège avec la Fraternité sacerdotale saint Pie X restent ouvertes
et pleines d’espérance. Jusqu’ici, à part ses décisions officielles, le
Saint-Siège s’est, pour différentes raisons, abstenu de rectifier
certaines affirmations inexactes au sujet de sa conduite et de sa
compétence dans ces relations. Quoi qu’il en soit, vient le moment où,
dans l’intérêt de la vérité, le Saint-Siège sera obligé de faire état de
certaines de ces indélicatesses. Particulièrement douloureuses ont été
les prises de position qui attaquent la mission et la personne du
Saint-Père: cela, désormais, demande une réponse.
De
récentes prises de position de membres de la Fraternité qui y occupent
d’importants postes d’autorité ne peuvent que faire douter de la
possibilité effective d’une réconciliation. On pense, en particulier, à
des entretiens accordés par le Supérieur du district d’Allemagne, ancien
Supérieur général de la Fraternité (18 septembre 2012) et par le
premier Assistant général de la Fraternité (16 octobre 2012), ainsi qu’à
un récent sermon du Supérieur général (1er novembre 2012). Le ton et le
contenu de ces déclarations ont suscité une certaine perplexité sur le
sérieux et même sur la possibilité effective d’une poursuite de nos
relations. Tandis que le Saint-Siège attend patiemment une réponse
officielle de la Fraternité, certains de ses supérieurs tiennent, dans
des communications non officielles un langage qui, aux yeux du monde
entier, apparaît comme un rejet des dispositions requises pour la
réconciliation et la régularisation canonique de la Fraternité dans
l’Église catholique.
De
plus, en revoyant l’histoire de nos relations depuis les années 1970, on
est amené à faire le constat objectif que les termes de notre désaccord
au sujet du Concile Vatican II demeurent, en fait, inchangés. Avec son
autorité magistérielle, le Saint-Siège a toujours affirmé qu’il fallait
interpréter les textes du Concile à la lumière de la Tradition et du
Magistère, et non l’inverse, tandis que la Fraternité a insisté pour
dire que certains enseignements du Concile sont erronés et donc non
susceptibles de recevoir une interprétation en harmonie avec la
Tradition et le Magistère. Au fil des ans, cette impasse est restée plus
ou moins telle quelle. Tout en permettant un fructueux échange de vues
sur des thèmes précis, les trois années de colloques doctrinaux qui
viennent à peine de s’achever n’ont pas fondamentalement changé la
situation.
Dans
ces circonstances, tandis que l’espérance demeure, il est clair qu’un
élément nouveau doit être introduit dans nos échanges, si nous ne
voulons pas apparaître à l’Église, au grand public et, au fond, à
nous-mêmes, comme engagés dans un échange courtois, mais sans issue ni
fruit. Il faut développer des considérations nouvelles, de nature plus
spirituelle et théologique, qui transcendent les désaccords importants
et apparemment insurmontables sur l’autorité et l’interprétation du
Concile Vatican II, objet de notre division actuelle; ces considérations
seront centrées sur notre devoir de préserver et de chérir l’unité et
la paix de l’Église, qui sont voulues par Dieu.
Il me
semble opportun d’introduire ces nouvelles considérations sous la forme
d’une lettre personnelle pour l’Avent, adressée à vous-même ainsi qu’aux
membres de la Fraternité sacerdotale. Son enjeu n’est autre que l’unité
de l’Église.
Assisi 1986, "sommo scandalo e offesa a Dio" con la combriccola variopinta e falsa delle religioni mondiali con Giovanni Paolo II...
Assisi 2011, riedizione della scandalo di Assisi questa volta con Benedetto XVI...
Bisognerebbe stare "uniti" con chi fà queste cose?
Di Noia vorrebbe l'unità della fantomatica Chiesa Conciliare che loro stessi, modernisti e promotori di numerose eresie conciliari, hanno contribuito a dividere...
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Le maintien de l’unité de l’Église
Dans ce
contexte, les mots de saint Paul reviennent à l’esprit: « Moi qui suis
en prison à cause du Seigneur, je vous encourage à vivre de manière
digne de l’appel que vous avez reçu, avec beaucoup d’humilité, de
douceur et de patience, en vous supportant les uns les autres avec
amour, en ayant à cœur de garder l’unité de l’Esprit par le lien de la
paix. De même que votre vocation vous a tous appelés à une seule
espérance, de même il n’y a qu’un seul Corps et un seul Esprit. Il n’y a
qu’un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et
Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous, et en tous » (Ep 4,
1-6).
Par ces
mots, l’apôtre Paul nous invite à garder l’unité de l’Église, l’unité
qui est donnée par l’Esprit et nous unit au Dieu unique « qui règne
au-dessus de tous, par tous, et en tous» (Ep 4, 6). La véritable unité
est un don de l’Esprit, et non le résultat de notre action.
Toutefois,
nos décisions et nos actions nous rendent aptes à coopérer dans l’unité
de l’Esprit ou à agir contre les motions de l’Esprit. Par conséquent,
saint Paul nous exhorte « à vivre de manière digne de l’appel que nous
avons reçu » (Ep 4, 1), à vivre en gardant le don précieux de l’unité.
Afin de
persévérer dans l’unité de l’Église, saint Thomas d’Aquin remarque que,
d’après saint Paul, « il faut cultiver quatre vertus et proscrire les
quatre vices qui leur sont opposés » (Commentaire de la Lettre aux
Éphésiens, § 191). Que faut-il éviter sur la voie de l’unité ?
L’orgueil,
la colère, l’impatience et le zèle désordonné. D’après l’Aquinate, « le
premier vice rejeté par [saint Paul] est l’orgueil. Quand une personne
arrogante décide de diriger les autres, alors que ces autres, dans leur
fierté, refusent de se soumettre, des désaccords surgissent dans la
société, et la paix disparaît… La colère est le deuxième vice. Car un
colérique est porté à l’injustice, verbale ou physique, ce qui provoque
la confusion. …. Le troisième est l’impatience. Parfois, un homme humble
et doux, qui s’interdit de provoquer le trouble, ne supporte pas avec
patience les attaques effectives ou projetées qu’on porte contre lui. …
Le quatrième vice est le zèle désordonné. Le zèle désordonné peut porter
sur n’importe quoi; à cause de lui, les hommes vont juger de tout ce
qu’ils voient, sans attendre le bon moment ou le bon endroit, et c’est
une catastrophe pour la société» (ibid.).
Comment
pouvons-nous agir contre ces vices? Saint Paul nous dit: « Ayez
beaucoup d’humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns
les autres avec amour » (Ep 4, 2).
D’après
l’Aquinate, en nous faisant voir la bonté présente chez les autres et
reconnaitre nos propres forces et nos propres faiblesses, l’humilité
nous aide à éviter l’esprit de rivalité dans nos rapports avec autrui.
La douceur « aplanit les difficultés et préserve la paix » (Commentaire
de la Lettre aux Éphésiens, § 191). Elle nous aide à éviter les
manifestations désordonnées de colère en nous donnant la sérénité de
faire notre devoir avec égalité d’humeur et dans un esprit de paix. La
patience nous rend capables de supporter la souffrance pour obtenir le
bien recherché, surtout s’il est difficile à atteindre ou si des
circonstances extérieures militent contre la réalisation de l’objectif.
La charité fait éviter le zèle désordonné en nous donnant de nous
soutenir les uns les autres, « en portant les défauts des autres avec
charité» (ibid.). Saint Thomas donne ce conseil: « Quand quelqu’un
tombe, il ne faudrait pas immédiatement le corriger, à moins qu’il y ait
un temps et un lieu pour cela. Il faudrait attendre avec compassion,
puisque la charité supporte tout (1 Co 13, 7). Il ne s’agit pas de
tolérer par négligence ou complicité, par familiarité ou amitié
charnelle, mais par charité. … Nous qui sommes forts, nous devons porter
les infirmités des faibles (Rm 15, 1)) (ibid.).
Le
prudent conseil de saint Thomas peut nous être utile, si nous acceptons
d’être formés par sa sagesse. Au cours des quarante dernières années,
nos relations n’ont-elles pas parfois manqué d’humilité. de douceur, de
patience et de charité ?
Souvenons-nous de ce qu’a écrit le pape Benoît XVI à ses frères dans l’épiscopat pour expliquer la promulgation du motu proprio Summorum Pontificum
: « En regardant le passé, les divisions qui ont lacéré le corps du
Christ au cours des siècles, on a continuellement l’impression qu’aux
moments critiques où la division commençait à naître, les responsables
de l’Église n’ont pas fait suffisamment pour conserver ou conquérir la
réconciliation et l’unité; on a l’impression que les omissions dans
l’Église ont eu leur part de culpabilité dans le fait que ces divisions
aient réussi à se consolider. Ce regard vers le passé nous impose
aujourd’hui une obligation: faire tous les efforts afin que tous ceux
qui désirent réellement l’unité aient la possibilité de rester dans
cette unité ou de la retrouver à nouveau» (Lettre du 7 juillet 2007).
Comment
les vertus d’humilité, de douceur, de patience et de charité peuvent
modeler nos pensées et nos actions. D’abord, si nous cherchons
humblement à reconnaitre la bonté qui existe chez ceux avec qui nous
pouvons être en désaccord sur des points même apparemment fondamentaux,
nous sommes capables d’examiner des questions disputées dans un esprit
d’ouverture et en toute bonne foi. Deuxièmement, si nous avons une
véritable douceur, nous pouvons garder un esprit de sérénité, en évitant
de parler sur un ton qui divise ou de développer des considérations
imprudentes qui offenseront au lieu de favoriser la paix et la
compréhension mutuelle. Troisièmement, si nous gardons une vraie
patience, nous reconnaitrons que, dans la recherche du bien précieux que
nous poursuivons, nous devons vouloir, si nécessaire, accepter la
souffrance de l’attente. Enfin, si nous sentons encore le besoin de
corriger nos frères, ce doit être avec charité, au bon moment et au bon
endroit.
Dans la
vie de l’Église, toutes ces vertus visent à préserver « l’unité de
l’Esprit par le lien de la paix » (Ep 4, 3). Si nos rapports sont
marqués par l’orgueil, la colère, l’impatience et le zèle désordonné,
notre recherche inquiète du bien de l’Église ne nous conduira qu’à
l’amertume. Si, d’autre part, la grâce de Dieu nous fait grandir en
vérité dans l’humilité, la douceur, la patience et la charité, notre
unité dans l’Esprit sera maintenue et nous grandirons plus profondément
dans l’amour de Dieu et du prochain, en accomplissant toute la loi que
Dieu nous a donnée.
Si nous
insistons tant sur l’unité de l’Église, c’est qu’elle reflète la
communion de la sainte Trinité et s’opère par elle. Comme nous le lisons
dans un sermon de saint Augustin: cc Le Père et le Fils nous ont
souhaité d’être en communion avec eux et entre nous; par ce don, qu’ils
possèdent tous deux comme s’ils ne faisaient qu’un, ils ont souhaité
nous unir à eux et nous unir entre nous par l’Esprit saint qui est Dieu
et le don de Dieu » (Sermon 71, 18).
L’unité
de l’Église n’est pas une chose que nous obtiendrions pour nous-mêmes
par notre propre pouvoir, mais c’est un don de la grâce divine. C’est en
reconnaissant ce don qu’Augustin peut dire: « Un ennemi de l’unité n’a
pas de part à l’amour de Dieu. Par conséquent, ceux qui sont en dehors
de l’Église n’ont pas l’Esprit saint » (Lettre 185, § 50). Voilà
des mots qui glacent: un ennemi de l’unité devient ennemi de Dieu, car
il rejette le don que Dieu nous a fait. « Comment prouver que nous
aimons notre prochain ? » demande saint Augustin. « En ne brisant pas
son unité, car nous observons la charité» (Homélies sur la première lettre de saint Jean
2, 3). Écoutons ce que dit saint Augustin à ceux qui divisent l’Église:
« Vous n’avez pas la charité, parce que, au nom de votre honneur, vous
provoquez des divisions dans l’unité. Comprenez donc par là que l’Esprit
vient de Dieu …. Vous vous écartez vous-mêmes de l’unité du monde, vous
divisez l’Église par des schismes, vous lacérez le corps du Christ. Il
est venu dans la chair pour le rassembler ; vous, vous criez pour le
déchirer » (ibid. 6, 13).
Comment
pouvons-nous éviter de devenir des ennemis de Dieu ? « Que chacun
interroge son cœur. Si quelqu’un aime son frère, l’Esprit de Dieu habite
en lui. Qu’il regarde, qu’il s’éprouve lui-même sous le regard de Dieu!
Qu’il voie s’il existe en lui un amour de la paix et de l’unité, un
amour de l’Église répandue sur toute la terre! » (ibid. 6, 10).
Comment donc nous comporter avec ceux dont il nous est difficile d’être
les amis? Écoutons saint Augustin: « Aimez vos ennemis de manière à
souhaiter les avoir pour amis ; aimez vos ennemis de manière à en faire
des compagnons » (ibid. 1, 9). Pour Augustin, la forme
authentique de l’amour ne peut être qu’un don de Dieu: « Demandez à Dieu
de pouvoir vous aimer les uns les autres. Vous devriez aimer tous les
hommes, même vos ennemis, non parce qu’ils sont vos frères, mais parce
qu’ils peuvent le devenir, de manière à pouvoir être toujours embrasés
de l’amour fraternel, soit pour celui qui est devenu votre frère, soit
pour votre ennemi, si bien qu’en l’aimant, il puisse devenir votre
frère » (ibid. 10,7).
L’exemple
de l’amour qui transforme nos ennemis en amis nous vient, en dernière
analyse, du Christ lui-même: « Aimons-nous, car il nous a aimés le
premier (4, 19). Comment aimerions-nous, s’il ne nous avait aimés le
premier? Par son amour, nous sommes devenus ses amis, mais il nous a
aimés comme ennemis, de manière à faire de nous ses amis. Il nous a
aimés le premier et nous a accordé les moyens de l’aimer » (ibid. 9, 9).
Pour
saint Augustin, l’unité de l’Église vient donc de la communion de la
Bienheureuse Trinité et doit être maintenue, si nous voulons rester en
communion avec Dieu même. Par la grâce de Dieu, nous devons préserver
cette unité avec une grande détermination, même si cela implique des
souffrances et une patiente endurance: « Supportons le monde, supportons
les tribulations, supportons le scandale des procès. Ne rebroussons pas
chemin. Tenons bon dans l’unité de l’Église, tenons bon dans le Christ,
tenons bon dans l’amour. N’abandonnons pas les membres de son épouse,
n’abandonnons pas la foi, de manière à pouvoir être glorifiés en sa
présence, et nous serons en sûreté en lui, dès maintenant par la foi, et
plus tard par la vision, dont l’Esprit saint nous a donné le gage » (ibid. 9, 11).
Qui sotto Di Noia dice che i Sacerdoti della Fraternità devono mantenere lo zelo e il carisma di Monsignor Lefebvre: "Che viene chiesto nella situazione attuale? Di non perdere lo zelo del vostro fondatore, Mons. Lefebvre. Lungi da ciò! Al contrario, vi viene chiesto di riaccendere la fiamma del suo zelo per la formazione di uomini al sacerdozio di Gesù Cristo".
Interessante, dopo la falsa sospensione a Divinis, la falsa scomunica e numerosi insulti questo signorotto modernista chiede ai Sacerdoti della San Pio X di mantenere ciò che monsignor Lefebvre è stato. Forse il Sign. Di Noia non sà che se facessero veramente questo respingerebbero, con ignominia, qualsiasi rapporto con gli assasini della fede Conciliari. Forse scrive ciò perche' sà che in molti oramai non hanno più lo zelo e il carisma del Fondatore della Fraternità San Pio X...
Fideliter n°66 Setembre Ottobre 1988
"Riguardo alla ripresa dei contatti con Roma. Porrò la questione sul piano dottrinale:"Siete d'accordo con le grandi encicliche dei Papi che vi hanno preceduto? Siete d'accordo con "Quanta Cura" di Pio IX, "Immortale Dei" e "Libertas" di Leone XIII, "Pascendi" di San Pio X, "Quas primas" di Pio XI, "Humani Generis" di Pio XII. Accettate ancora il giuramento antimodernista? Siete ancora per il Regno Sociale di NSGC? Se non accettate la dottrina dei vostri predecessori è inutile di parlare. Finche non avrete accettato di riformare il Concilio considerando la dottrina di questi Papi che vi hanno preceduto nessun dialogo è possibile. E’ inutile. Cosi le posizioni sono più chiare. (Conferenza tenuta al ritiro sacerdotale a Econe il 4 settembre 1987 "Sous la Banniere" n.133 ottobre 2007 p.4)
"Riguardo alla ripresa dei contatti con Roma. Porrò la questione sul piano dottrinale:"Siete d'accordo con le grandi encicliche dei Papi che vi hanno preceduto? Siete d'accordo con "Quanta Cura" di Pio IX, "Immortale Dei" e "Libertas" di Leone XIII, "Pascendi" di San Pio X, "Quas primas" di Pio XI, "Humani Generis" di Pio XII. Accettate ancora il giuramento antimodernista? Siete ancora per il Regno Sociale di NSGC? Se non accettate la dottrina dei vostri predecessori è inutile di parlare. Finche non avrete accettato di riformare il Concilio considerando la dottrina di questi Papi che vi hanno preceduto nessun dialogo è possibile. E’ inutile. Cosi le posizioni sono più chiare. (Conferenza tenuta al ritiro sacerdotale a Econe il 4 settembre 1987 "Sous la Banniere" n.133 ottobre 2007 p.4)
"Bisogna tenere, assolutamente tenere, tenere ad ogni costo. E adesso
vengo a quello che senza dubbio vi interessa; ma io dico: Roma ha perso
la fede, cari amici, Roma è nell'apostasia. Queste non sono parole, non
sono parole (sparate) in aria che vi dico, è la verità! Roma è
nell'apostasia. Non si può più dare fiducia a questa gente. Hanno
abbandonato la Chiesa, abbandonano la Chiesa, e sicuro, sicuro, sicuro.
L'ho riassunto al cardinale Ratzinger in poche parole, perche diciamo
che è difficile di riassumere tutta questa situazione; ma gli ho detto: "Eminenza,
veda, anche se Voi ci accordaste un vescovo, anche se Voi ci accordaste
una certa autonomia rispetto ai vescovi, anche se Voi ci accordaste
tutta la liturgia del 1962, se ci accordaste di continuare i seminari
della Fraternità, come lo stiamo facendo ora, noi non possiamo
collaborare, e impossibile, impossibile, perche lavoriamo in due
direzioni diametralmente opposte: Voi lavorate alla decristianizzazione
della società, della persona umana e della Chiesa e noi invece lavoriamo
alla cristianizzazione. Ecco che non ci si può capire".
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La place de la Fraternité sacerdotale dans l’Église
Que
vous est-il donc demandé dans la situation présente ? Non pas de perdre
le zèle de votre fondateur, Monseigneur Lefebvre. Loin de là ! Au
contraire, il vous est demandé de raviver la flamme de son zèle ardent
pour la formation des hommes au sacerdoce de Jésus-Christ. Le moment est
sûrement venu d’abandonner la rhétorique âpre et contre-productive qui a
surgi au cours des années passées.
Retourner
au charisme jadis confié à Monseigneur Lefebvre, le charisme de la
formation des prêtres dans la plénitude de la Tradition catholique pour
entreprendre auprès des fidèles un apostolat qui jaillisse de cette
formation sacerdotale. Voilà le charisme que l’Église discerna lorsque
la Fraternité sacerdotale saint Pie X fut approuvée en 1970. Nous
n’avons pas oublié le jugement élogieux porté par le Cardinal Gagnon sur
le séminaire d’Écône en 1987.
Le
charisme authentique de la Fraternité consiste à former des prêtres pour
le service du peuple de Dieu, non à se donner la mission de juger et de
corriger la théologie ou la discipline d’autrui dans l’Église. Vous
aurez à vous centrer sur la transmission d’une formation philosophique,
théologique, pastorale, spirituelle et humaine à vos candidats, pour
qu’ils puissent prêcher la parole du Christ et agir comme des
instruments de la grâce de Dieu dans le monde, en particulier par la
célébration solennelle du saint Sacrifice de la Messe. Il faudra
certainement prêter attention aux passages du Magistère qui vous
semblent difficiles à concilier avec l’enseignement magistériel, mais
ces questions théologiques ne devraient pas constituer le centre de
votre prédication ou de votre formation.
Sur la
question de savoir qui est compétent pour corriger un abus, nous pouvons
considérer le cas de saint Pie X et de ses interventions dans le
domaine de la musique sacrée. En 1903, saint Pie X promulgua le célèbre
motu proprio Tra le sollecitudini, qui promouvait dans toute
l’Église une réforme de la musique sacrée. Ce document marquait
l’aboutissement de deux initiatives antérieures de Giuseppe Sarto: un votum
sur la musique sacrée écrit à la demande de la Sacrée Congrégation des
Rites en 1893, et une lettre pastorale sur la réforme de la musique
sacrée dans l’Église de Venise publiée en 1895.
Ces
trois documents avaient substantiellement le même contenu. Pourtant, le
premier était une liste de suggestions pour la Curie romaine, le
deuxième une instruction pour les croyants placés sous la juridiction du
Patriarche de Venise, et le troisième une série de dispositions
valables pour l’Église universelle. En tant que Pape, saint Pie X avait
l’autorité nécessaire pour signaler les abus en matière de musique
sacrée dans le monde entier, tandis que, comme évêque, il ne pouvait
intervenir que dans son diocèse. Par ses prescriptions disciplinaires et
doctrinales, saint Pie X pouvait traiter les problèmes dans l’Église
sur un plan universel, précisément à cause de son autorité universelle.
Même si
nous sommes convaincus que notre point de vue sur une question
particulière disputée est le bon, nous ne pouvons pas usurper la mission
du Souverain Pontife en nous arrogeant le droit de corriger
publiquement les autres dans l’Église. Nous pouvons proposer et chercher
à influer, mais non pas manquer de respect à l’égard des autorités
locales légitimes ou agir contre elles. Nous devons respecter le genre
propre de différentes sortes d’instances: c’est la foi qu’il faudrait
prêcher dans nos chaires, et non la dernière interprétation de ce que
nous croyons problématique dans un document magistériel. Ce fut une
erreur de faire de tout point difficile de l’interprétation théologique
de Vatican II la matière d’une controverse publique, en cherchant à
pousser ceux qui ne sont pas compétents en théologie à adopter notre
point de vue au sujet de points théologiques délicats.
L’Instruction Donum Veritatis
sur la vocation ecclésiale du théologien (Congrégation pour la Doctrine
de la Foi, 1990) affirme qu’un théologien peut « se poser des questions
portant, selon les cas, sur 1′opportunité, sur la forme ou même le
contenu d’une intervention du Magistère », bien que « la volonté
d’acquiescement loyal à cet enseignement du Magistère en matière de soi
non irréformable doive être la règle » (§ 24). Toutefois, un théologien «
ne présentera pas ses opinions ou ses hypothèses divergentes comme s’il
s’agissait de conclusions indiscutables. Cette discrétion est commandée
par le respect de la vérité ainsi que par le respect du Peuple de Dieu
(cf. Rm 14, 1-15; 1 Co 8 ; 10, 23-33). Pour les mêmes raisons, le
théologien renoncera à leur expression publique intempestive » (§ 27).
Si,
après une intense, patiente et loyale réflexion de sa part, des
difficultés demeurent, « c’est un devoir /pour le théologien de faire
connaître aux autorités magistérielles les problèmes que soulève un
enseignement en lui-même, dans les justifications qui eI1 sont proposées
ou encore dans la manière selon laquelle il est présenté, Il le fera
dans un esprit évangélique, avec le désir profond de résoudre les
difficultés. Ses objections pourront alors contribuer à un réel progrès,
en stimulant le Magistère à proposer 1′enseignement de l’Église d’une
manière plus approfondie et mieux argumentée. – Dans ces cas, le
théologien évitera de recourir aux mass media plutôt que de s’adresser à
l’autorité responsable, car ce n’est pas en exerçant ainsi une pression
sur 1′opinion publique que 1′on peut contribuer à la clarification des
problèmes doctrinaux et servir la vérité » (§ 30).
Cette
partie de la tâche du théologien menée dans un esprit loyal et animée
par l’amour de l’Église, peut parfois être difficile. « Ce peut être un
appel à souffrir dans le silence et la prière, avec la certitude que si
la vérité est vraiment en cause, elle finira nécessairement par
s’imposer » (§ 31).
Toutefois,
un examen critique des actes du Magistère ne doit jamais devenir une
sorte de « magistère parallèle » des théologiens (cf. § 34), car il doit
être soumis au jugement du Souverain Pontife, qui a « la tâche de
préserver l’unité de l’Église, avec la sollicitude d’offrir à tous
l’assistance pour répondre avec les moyens opportuns à cette vocation et
grâce divine » (Lettre apostolique Ecclesiae unitatem § 1). Nous
voyons donc que, pour ceux qui, dans l’Église, ont le devoir ou la
mission canonique d’enseigner, il y a place pour un engagement vraiment
théologique et non polémique avec le Magistère. Intellectuellement
parlant, de toute façon, nous ne pouvons pas nous centrer uniquement sur
la controverse. Les problèmes théologiques difficiles ne peuvent être
adéquatement traités que par l’analogie de la foi, c’est-à-dire la
synthèse de tout ce que le Seigneur nous a révélé. Nous verrons chaque
doctrine et article de foi comme soutenant les autres et apprendre à
comprendre les liens internes qui existent entre chacun des éléments de
notre foi.
Pour
entreprendre des études de théologie, nous devons avoir une expérience
culturelle, biblique et philosophique adéquate. Je pense, par exemple, à
un passage du Code de Droit canonique de 1917 reproduit dans
l’introduction de Denziger à l’édition anglaise de la Somme Théologique:
« Les religieux qui ont déjà fait leurs humanités devront étudier la
philosophie pendant au moins deux ans, et la théologie pendant quatre
ans, en suivant l’enseignement de saint Thomas et en accord avec les
instructions du Siège apostolique» (CIC 1917, can. 589). Considérons la
sagesse de cette directive: la théologie doit être entreprise par ceux
qui ont été formés aussi bien dans les humanités qu’en philosophie. La
Congrégation pour l’Éducation catholique a récemment demandé que l’étude
de la philosophie dure trois ans pendant la formation au sacerdoce.
Sans cette ouverture, notre recherche théologique n’aura pas le riche
terreau de culture sur lequel la foi s’enracine et qui est indispensable
pour une pleine compréhension des concepts et des termes philosophiques
qui sous-tendent les formulations doctrinales de l’Église.
Si nous
nous centrons seulement sur les questions les plus difficiles et les
plus controversées, – qui doivent, certes, faire l’objet d’une grande
attention – nous pouvons finir par perdre le sens de l’analogie de la
foi et nous mettre à voir la théologie surtout comme une sorte de
dialectique intellectuelle sur des sujets conflictuels plus que comme un
engagement de la sagesse avec le Dieu vivant qui s’est révélé à nous en
Jésus Christ et qui, par l’Esprit saint, inspire notre travail, notre
prédication et notre action pastorale.
Conclusion
Avec sa façon magnanime d’exercer le munus Petrinum,
le pape Benoît XVI est extrêmement désireux de surmonter les tensions
qui ont existé entre l’Église et votre Fraternité. Une réconciliation
ecclésiale immédiate et totale mettra-t-elle fin aux soupçons et à la
méfiance qui ont surgi de part et d’autre ? Sans doute pas si
facilement.
Mais ce
que nous cherchons n’est pas une œuvre humaine: nous cherchons la
réconciliation et la guérison par la grâce de Dieu, sous la conduite
aimante du Saint-Esprit. Rappelons-nous les effets de la grâce articulés
par saint Thomas: guérir l’âme, désirer le bien, réaliser le bien qu’on
s’est proposé, persévérer dans le bien et, pour finir, obtenir la
gloire (cf. Somme Théologique la Irae, 111, 3).
Nos
âmes ont d’abord besoin d’être guéries, purifiées de l’amertume et du
ressentiment nés de trente ans de soupçons et de tourments de part et
d’autre. Nous devons prier le Seigneur de nous guérir de toutes les
imperfections qui sont venues précisément à cause des difficultés,
surtout du désir d’autonomie qui est, en fait, étranger aux formes
traditionnelles de gouvernement dans l’Église. Le Seigneur nous donne la
grâce de désirer certains biens: en ce cas, le bien d’une unité et
d’une communion ecclésiales totales. C’est un désir que bon nombre
d’entre nous partagent, humainement parlant, mais ce que nous avons
besoin de recevoir du Seigneur, c’est la communication de ce désir à nos
âmes, de manière à nous faire désirer le ut unum sint avec le
désir même du Christ. C’est seulement alors que la grâce de Dieu nous
permettra de réaliser le bien que nous nous proposons. C’est Lui qui
nous pousse à chercher une réconciliation et la porte à son achèvement.
Voici
venu le moment d’une grâce extraordinaire : saisissons-le de tout notre
cœur et de tout notre esprit. En nous préparant â la venue du Sauveur du
monde au cours de cet Avent de l’Année de la Foi, prions et espérons
avec confiance: ne pouvons-nous pas aussi espérer la réconciliation,
attendue depuis longtemps, de la Fraternité sacerdotale saint Pie X avec
le Siège de Pierre ? Le seul avenir imaginable pour la Fraternité
sacerdotale saint Pie X se trouve sur le chemin d’une pleine communion
avec le Saint-Siège, dans l’acceptation d’une profession de foi
inconditionnelle en sa plénitude, et donc avec une vie sacramentelle,
ecclésiale et pastorale convenablement ordonnée.
Ayant
reçu de Pierre la charge d’être un instrument de réconciliation de la
Fraternité sacerdotale, j’ose faire miennes les paroles de Paul en nous
exhortant à « vivre fidèlement 1′appel reçu, avec beaucoup d’humilité,
de douceur et de patience, en nous supportant les uns les autres avec
amour, en ayant à cœur de garder l’unité de l’Esprit par le lien de la
paix ».
Sincèrement vôtre dans le Christ,
+ J. Augustine Di Noia, O.P.
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Nella speranza, cattolica, che i Sacerdoti della San Pio X non cedano alle lusinghe moderniste "conciliari", riproponiamo questo scritto di Monsignor Lefebvre affinchè, se mai leggessero questo articolo, rimangano nello zelo e carisma del fondatore della Fraternità Sacerdotale San Pio X....
"(…) Sono convinto che si
scoprirà poco a poco che il Vaticano II ha a che fare con una loggia massonica!
Né più né meno. Lo si scoprirà, forse, di qui a breve. Verranno pubblicati dei
nomi con le appartenenze massoniche, con i gradi di massoneria, con le
appartenenze alle logge!..
Non può essere altrimenti!
Eseguono alla perfezione il lavoro delle logge massoniche per non essere,
almeno, dei sostenitori delle logge massoniche. Non è possibile, non è
possibile! E tutto ciò si verifica in ogni settore. Non è possibile che il
Papa, ispirato dallo Spirito Santo e sostenuto dallo Spirito Santo per bocca di
Nostro Signore Gesù Cristo, possa fare una cosa del genere. In questo, sono
d’accordo con voi, non è possibile, è incompatibile.
Questa distruzione della
Chiesa, questa distruzione del Regno sociale di Nostro Signore Gesù Cristo,
questa distruzione della fede cattolica in ogni campo: tutti i catechismi, le
università, le scuole cattoliche, le congregazioni religiose, i seminari.
Ovunque si guardi, vi è la distruzione sistematica di tutta la Chiesa! Voluta
da tutte le riforme approvate dal Vaticano II. Perché il Vaticano II è stato,
direi, ciò che ha permesso di fare le riforme. Ciò che bisognava fare, erano le
riforme! Il Vaticano II, con termici equivoci, ha permesso di dare avvio alle
riforme. Ed era proprio questo lo scopo! Il Vaticano II è stata la rampa di
lancio che ha permesso tutto questo!
Dunque, si può dire del
Santo Padre: in realtà, non è possibile che un Papa possa fare questo! Dunque,
non è Papa! Beh, il ragionamento non fa una piega! Il ragionamento non fa una
piega!
Io non ne so nulla!.. Io non
dico che sia così!.. Io dico, ci sono diverse ipotesi! Questa potrebbe essere
un’ipotesi attendibile... E’ possibile che venga a galla! Io non ne so nulla, io
non ne so nulla… Secondo me, vedete, non è ancora chiara… Ma un giorno verrà a
galla, e non si tratta di cose impossibili. A questo proposito, ci sono state
delle apparizioni che lo hanno detto, e queste apparizioni sono state
riconosciute dalla Santa Sede! Parliamo di Fatima! Parliamo di La Salette!
Hanno detto che il demonio sarebbe salito sino al gradino più alto della
Chiesa!
Io non ne so nulla, non so
se il gradino più alto si riferisce al Segretario di Stato e si ferma lì, o se
va ben oltre e arriva fino al Papa! Io non ne so nulla. Fino a colui che si
dice Papa… io non lo so. E voi lo sapete, non è una cosa impossibile. E i
teologi hanno studiato il problema. I teologi hanno studiato il problema per
sapere se sia una cosa possibile, per esempio, che una papa possa essere
eretico, quindi scomunicato, quindi tutti i suoi atti illegittimi e invalidi.
E se, per ipotesi, - io
non so nulla, di nuovo non mi fate dire cose che non dico, io non lo so! – ma
alla fine, premesso che lo si scopra, si scoprisse pian pianino la sua
appartenenza alla massoneria... Immaginate che il Papa sia stato iscritto ad una
loggia massonica prima della sua elezione! Era già scomunicato!
Scomunicato, quindi la sua
elezione è invalida! Non può essere Papa! E noi avremmo, nel frattempo, un Papa
che non è Papa!
Sono cose possibili!
Ancora una volta non dico che sia così. Ma, cosa volete, nella situazione in
cui ci troviamo, dobbiamo cercare una soluzione! Ci troviamo davanti ad una
problema quasi irrisolvibile. Teologicamente, direi, teologicamente quasi
irrisolvibile, quindi si cerca una soluzione!
Si vogliono distruggere
tutti gli stati cattolici! Non si vuole più il Regno Sociale di Nostro Signore
Gesù Cristo! Ebbene, che la Chiesa si presti a quest’opera gigantesca e
demoniaca è inverosimile! Inverosimile! E’ talmente, talmente abominevole! E’
talmente spaventoso! Spaventoso!
Vedete, a questo riguardo,
io sono personalmente convinto che i princìpi massonici siano entrati nella
Chiesa in occasione del Concilio. Tutto il Concilio è stato equivoco, e tutto
ciò è stato occultato bene. Peraltro, ci sono dei testi molto significativi,
vero? Prendiamo Gaudium et Spes. Ci
sono delle cose in Gaudium et Spes
del tutto insensate!
Per esempio, l‘indipendenza
della cultura laica. C’è tutto un
capitolo sulla cultura in Gaudium et
Spes, ove si dice che la “cultura laica deve essere indipendente dalla
religione”. Di nuovo, il Regno di Nostro
Signore Gesù Cristo non si estende nemmeno più sulla cultura. L’uomo, vedete,
può liberarsi della legge morale quando, per esempio, si esprime attraverso
l’arte o cose del genere. Di liberazione in liberazione, si tratta sempre di
liberazione da Nostro Signore Gesù Cristo, si abbandona Nostro Signore Gesù
Cristo! E questo lo si è applicato a tutto, a tutto."
"E quando ad un incontro di
teologi – c’erano 150 teologi a Bruxelles – il cardinale Suenens ha detto: “il
Concilio, è l’89 della Chiesa”! Ah ah, ma pensa, pensa, pensa, l’89 della
Chiesa! (intendi: "il 1789 della Chiesa"-ndr) Tutto questo è sintomatico, è chiaro! E allora, per quanto mi riguarda,
io soffro. Quando penso che talvolta qualche sacerdote amico, o molto ben
sistemato, simpaticamente mi dice: “Ah no, no, no, non parlate male del
Concilio, non parlate male del Concilio, ve ne supplico. Non del Concilio.
Delle riforme, dell’interpretazione del Concilio, tutto ciò che volete, ma non
del Concilio!”
Ma suvvia, è una fesseria!
E’ in nome del Concilio che fanno le riforme. Tutte le riforme vengono fatte
pubblicamente. Per farla breve, quando parlano della riforma della messa,
quando parlano della riforma liturgica in nome di una certa idea, di una certa
costituzione, di una certa dichiarazione, e ancora quando fanno tutte le
trasformazioni politiche, è in nome della libertà religiosa. Quindi, per loro è
tutto chiaro. Per loro, è il Concilio che vuole tutto questo. Bene, ma sono
loro che hanno fatto il Concilio! Sono loro che lo hanno diretto!
Quando pensiamo che
oggigiorno si pubblica ovunque, nelle riviste - l’avevo già visto in una
rivista tedesca e l’ho ritrovato in una rivista italiana di Roma - tutto il pedigree massonico del Cardinale Liénart, pubblicato con tanto di foto in piena Roma nella rivista Chiesa Viva,
una rivista molto, molto, molto, vi confesso, molto moderata, una rivista che
definirei di persone dai principi cattolici, o comunque di questo genere:
allora, in una rivista di questo tipo, in piena Roma, foto di questo cardinale,
tutte le sue appartenenze, tutti i suoi gradi e quando è salito da un grado
all’altro, e tutte le logge di cui ha fatto parte, tutte queste cose… Si tratta,
in pratica, di un uomo che ha guidato il gruppo liberale del Concilio e che ha dominato
il Concilio; e costui è molto amico del Santo Padre, bisogna assolutamente dire
le cose come stanno! Il cardinale Liénart, il cardinale Frings, il cardinale
Alfrink, il cardinale Suenens erano amici del Santo Padre. Il cardinale
Döpfner, è lui che lo ha nominato moderatore del Concilio, non possiamo
negarlo. E’un dato di fatto che fossero amici del Santo Padre. E noi, noi siamo
stati, si può dire, emarginati dal Concilio; noi che avevamo difeso la
Tradizione, i 250 che difendevano la Tradizione sono praticamente rimasti
orfani e mai abbiamo avuto alcuna eco presso il Santo Padre.
Il cardinale Larraona ha
redatto un atto che ho conservato, e che vorrei pubblicare presto, con la
risposta del Santo Padre, sulla collegialità, durante il Concilio. Si affronta
il pericolo della collegialità, che è addirittura una democratizzazione
episcopale, assolutamente pericolosa: il Santo Padre ha risposto: “Non capisco,
non capisco cosa vogliate dire. E poi, nonostante tutto, la maggioranza dei
vescovi è favorevole”. Cosa significa “la maggioranza dei vescovi è
favorevole…”, è pazzesco! E così, da quel momento, il cardinale Larraona è
stato perseguitato dal Santo Padre, ed è morto anche di dolore, quel povero
cardinale Larraona, perseguitato, come pure il cardinale Ottaviani - che viene
mandato in pensione adesso, ma che deve morire di dolore davanti a tutto ciò che
succede – anche lui messo da parte; e il cardinale Palazzini, anche lui
nominato per essere allontanato dalla Congregazione del Clero, anche lui
ignorato. Non conta nulla a Roma. Lo stesso si dica per il cardinale Oddi.
Tutti i Tradizionalisti sono stati scartati, nessuna funzione e tutti disgraziatamente,
bisogna dire disgraziatamente, bocche tappate!
Allora, come diceva il
cardinale Staffa, “ma aspettate, aspettate, state zitto, cambierà, cambierà,
perché vi siete tanto affannato, a quale pro, per manifestare la vostra
disapprovazione…” Ed io gli dissi: ”Ma, sentite, voi ora siete dietro la vostra
scrivania, è tutto facile ovviamente, voi aspettate, dietro la vostra scrivania,
aspettate ancora due o tre anni poi cambierà, vero?, ma tranquillamente, dietro
la vostra scrivania di Presidente della Signatura Apostolica e così, nel
frattempo, milioni di anime si perdono, vanno all’inferno a causa di questo
abbandono dei cardinali e dei vescovi, anche tradizionalisti, che non dicono
niente a nessuno”.
O come anche Monsignor
Graber, che mi ha scritto ancora 15 giorni fa dicendomi:” Monsignore, vi
supplico, accettate il Novus Ordo, accettate non so cosa, è gravissimo, sarete
fuori dalla Chiesa, sarete…” Allora ho risposto dicendogli: “Ma senta, se
giudicassi secondo il suo scritto Atanasio
e la Chiesa di oggi, lei è ben più severo di me sul Concilio, lei parla
delle influenze massoniche nel Concilio… Ma io non ne ho ancora mai parlato, ne
parlo adesso perché la cosa comincia ad essere chiara, ma non ne ho mai
parlato, è lei che ne ha parlato. E allora, come può chiedere proprio a me di
accettare le riforme ed il Concilio che lei dice essere influenzati dalla
massoneria. Come può farlo?”
Ebbene, è inaudito,
sarebbe inaudito. Persino davanti a Monsignor Graber… E non parliamo ovviamente
di D’Ambrois, di Monsignor Moriot, che voi conoscete, amici, amici fraterni
direi: “Allora, Monsignore, sottomettetevi, sottomettetevi, andate a dire al
Santo Padre che riconoscete ogni cosa, poi dopo andate sulla tomba di San
Pietro a pregare e vedrete come stanno le cose, tutto si aggiusterà, e quando
voi sarete…
Certo, come sosteneva
Monsignor Benelli, che mi disse: “Monsignore, bisogna firmare, dovete
sottoscrivere che vi siete sbagliato, che accettate il Concilio, che accettate
tutte le riforme postconciliari, che accettate tutte le direttive di Roma, che
accettate la nuova messa, - e mi mette in mano un messale del Novus Ordo – e
che accettate di trascinarvi dietro tutti i vostri adepti…”
“Ma io non ho degli
adepti, non ho degli adepti…”, risposi.
“Come? E tutti quelli che
vi seguono?”
“Tutti quelli che mi
seguono o che non mi seguono, sono tutti nella stessa situazione, si trovano
tutti in una situazione della Chiesa che è intollerabile, che è inaccettabile,
si perderà la fede, si diventerà protestanti. E allora
reagiscono. Capita che per molti vescovi che hanno dei seminari io sia un
esempio, un po’ come un faro in mezzo all’oceano. Allora, le persone che la
pensano come noi si riuniscono, Ecône diventa un simbolo, ma non sono io che
condiziono il loro modo di pensare, sono sufficientemente intelligenti da
sapere che non ci si può sottomettere a ciò che capita attualmente nella
Chiesa. Vediamo bene che non è
possibile, perché oggi ciò che Roma propone è avvelenato, sta succedendo
qualcosa di molto grave, vogliono annientare le nostre anime, portandole alla
perdizione.
Noi non vogliamo, non
vogliamo nessuna religione universale, nessuna religione sincretista, nessuna
religione mezzo massonica e mezzo non so cosa, sentimentale – vero? – che
porterebbe all’unione di tutti gli uomini di tutte le religioni.
Non lo vogliamo, a nessun
prezzo, a nessun prezzo! "
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Mons. Di Noia ci chiede cose che gia' in altri tempi altri egregi gerarchi della Chiesa ci hanno chiesto, ma che il nostro grande Vescovo Lefebvre non ha mai accettato. Prima di chiedere, gli egregi gerarchi, devono andarsi a rivedere tutto il disastro che hanno combinato negli ultimi 50 anni, devono rinnegarlo davanti al mondo e davanti a Dio (se ci credono ancora), quindi devono fare giuramento pubblico di ritornare ad essere Cattolici, di dire che l'unica Chiesa e' La CHIESA CATTOLICA e chi non e' cattolico non puo' entrarci prima di convertirsi al Cattolicesimo. Devono rinnegare se stessi e prendere sulle spalle la Croce e seguire Cristo. Per 50 anni hanno rinnegato tutto, avevavo costruito una nuova chiesa, una nuova dottrina, una nuova religione, si sentono parte integrante e riconoscono tutte le religioni false e pagane, e quando si parla del DIO TRINITARIO, DELLA CHIESA BIMILLENARIA E DI TUTTA LA SUA TRADIZIONE,si discostano come se la Chiesa Cattolica fino al 1960 fosse stata una Chiesa lebbrosa. Invece gioscono quando trattano alla pari con tutte le religioni false e pagane e bastonano quando un cristiano dice di essere un vero Cattolico. Non fanno altro che dire che la chiesa (la loro chiesa) nasce con il conciliabolo Vat.II. - Non e' assolutamente possibile trattare con dei medici che per 50 anni ti hanno dato il veleno per ucciderti ed ora ti dicono che vogliono darti una medicina che ti salva la vita. Io me ne guardo bene da questi falsi medici che con l'inganno vogliono darmi altro veleno per distruggermi e farmi morire, cos' possono togliersi davanti l'ultimo baluardo che li ostacola. Chi si dichiara Cattolico non tradisce Cristo per avere in mano il potere del mondo. Non dimentichero' mai quel pezzo del Vangelo "LE TENTAZIONI DI CRISTO", Gesu' non si e' messo in ginocchio davanti al demonio, ma ha detto solo il Padre Suo va adorato - VA VIA SATANA VAI AVANTI CON LA TUA FALSA CHIESA, TANTO ARRIVERA' ANCHE PER VOI IL GIORNO DEL GIUDIZIO E DOVRETE RENDERE CONTO AL VERO DIO, QUEL DIO CHE PERDONA I POVERI DI CUORE E DI SPIRITO, MA RENDE GIUSTIZIA AGLI INGANNATORI, -
RispondiEliminaDio ha creato il Paradiso per chi lo ama e lo segue e l'inferno per i traditori e per i peccatori che non si pentono e convertono.
Leggere bene anche il finale di mons Lefebvre...
RispondiEliminaAllude ma non osa spingersi più in là di tanto. Ma allude anche che si capirà di certo in futuro se un papa è veramente un papa o , se massone è scomunicato e quindi papa invalido!
Nessuno saprà mai per certo perchè ovviamente non vi sarà nessuno che dirà che Roncalli è stato massone o Montini o Woytila o Ratzinger .
Ciascun segretario starà zitto e quantomeno sarà in accordo con il massone e non avrebbe alcun interesse a divulgare la notizia, ma è certo che potremo valutare gli indizi.
E di indizi ora, informandosi, ve ne è un vagone!
"Dai frutti li riconoscerete..."
E chi non li riconosce è perchè o non è più cattolico o non lo è mai stato.
Amen.